Frédérique COUTEL

C’est avec une immense tristesse que j’ai appris le départ de Frédérique, dont le courage tout au long de sa maladie force l’admiration.

Même si nos rencontres ont été rares, je garde de Frédy le souvenir d’une femme profondément douce et bienveillante.
Je suis reconnaissante que mon frère ait trouvé sa place dans cette belle famille avec qui nous avons partagé de si beaux moments, et j’ai une grande affection pour Alexandra, que je considère comme une sœur.

Je pense très fort à vous, et Julien ainsi que Chloé et Sarah, se joignent à moi pour vous adresser tout notre soutien.

Avec tout notre amour.

Estelle, Julien, Chloé et Sarah

Ma Fredy ,
Nous nous sommes embrassés pour la première fois le 12 août
1972.
Ça été le début de la grande aventure de notre vie à deux.
Ton amour et ta bienveillance ont toujours accompagné notre couple.
Ton regard et ton sourire l’ont illuminé tout au long de ces 53 années passées ensemble.

Je ne cesserai jamais de t’aimer.

Demain, par la pensée, comme toutes les personnes réunies sur ce site et qui ont croisé amicalement la route de Madame Coutel demain, je serai présente par la pensée pour ce moment très difficile et douloureux que vous allez partager en famille.

Je ne peux pas dire que Fredy était la mère que je n’ai jamais eue car j’ai la chance comme vous le savez tous d’avoir des parents formidables.

Cependant je peux affirmer que Fredy était comme une seconde mère pour moi. Elle m’a connue alors que je n’étais encore qu’un adolescent et avec Christian ils m’ont très vite accepté dans leur meute.

Vous ne m’en voudrez certainement pas pour cette métaphore quand on sait l’amour que Fredy portait aux animaux.

C’est ce même amour sans partage qu’elle m’a donné pendant toutes ces années qui fait qu’aujourd’hui la douleur est si forte.

Mais en ce jour je ne veux retenir que les meilleurs souvenirs de notre Manou et c’est pourquoi il m’est si important de lui rendre hommage.

Si vous le voulez bien, comme dans le milieu sportif et pour souligner le dur combat qu’elle a mené pendant ces 8 dernières années, je vous propose d’applaudir la confidente, la grand-mère, la belle-mère, la mère, en bref la femme formidable qu’elle était.

En tant que gendre préféré je vous remercie pour ses applaudissements. Désolé Thomas, mais je me devais de la faire puisqu’elle n’est plus là pour me contredire 😉.

Ce genre de blagues, avec ses gendres, elle avait l’habitude de les entendre et à chaque fois cela nous faisait bien rire.
Aujourd’hui, malheureusement, ce ne sont pas des rires mais des larmes qui nous viennent tant la tristesse est grande.

Merci d’avoir été là pour nous, on te portera à tout jamais dans nos cœurs.

Je t’aime Fredy.

Chère Fredy,
Pour tous ceux qui ont eu la chance de croiser votre route et votre grand cœur je vous dis merci.
Vous nous manquerez.
Je veux croire que vous êtes entourée d'êtres aimés et que nous nous reverrons tous.
Je vous embrasse

Maman La plus belle du monde de Luis Mariano

Maman, c'est toi, la plus belle du monde
Aucune autre à la ronde n'est plus jolie
Tu as pour moi, avoue que c'est étrange
Le visage d'un ange du paradis

Dans tous mes voyages
J'ai vu des paysages
Mais rien ne vaut l'image
De tes beaux cheveux gris

C'est toi maman, la plus belle du monde
Et ma joie est profonde
Lorsqu'à mon bras
Maman, tu mets ton bras

Maman, c'est toi, la plus belle du monde
Car tant d'amour inonde tes jolis yeux
Pour toi, c'est vrai, je suis malgré mon âge
Le petit enfant sage des jours heureux

J'avais fait des rêves
Où l'on m'aimait sans trêve
Mais les rêves s'achèvent
Et toi seule m'est restée

C'est toi maman, la plus belle du monde
Et lorsque tout s'effondre
Autour de moi
Maman, toi tu es là


Je t’aime à l’infini Maman...